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chapitre deux — Article trois

le temps est
une illusion

Si, selon Lewis Carroll, le temps est une personne, il est, pour Cartier, un territoire de jeux et d’exploration. Se jouer des formes, franchir la frontière qui sépare le réel de l’imaginaire ou passer de l’autre côté du miroir : c’est en magicien que Cartier aborde le temps.

Remonter Le Cours du Temps : la Montre Santos Rewind.

Inverser le cours du temps : c’est le défi technique et esthétique de la montre Santos-Dumont Rewind. Une création qui propose de lire le temps à l’envers, à contrecourant des habitudes. Une dose d’esprit pionnier, un soupçon de provocation, un brin de fantaisie et voici une montre qui célèbre avec sérieux l’esprit fantasque de l’aviateur Alberto Santos-Dumont.

Photo de la montre Santos Rewind

Remonter Le Cours du Temps : la Montre Santos Rewind.

Inverser le cours du temps : c’est le défi technique et esthétique de la montre Santos-Dumont Rewind. Une création qui propose de lire le temps à l’envers, à contrecourant des habitudes. Une dose d’esprit pionnier, un soupçon de provocation, un brin de fantaisie et voici une montre qui célèbre avec sérieux l’esprit fantasque de l’aviateur Alberto Santos-Dumont.

Photo de la montre Santos Rewind

De l’autre côté du miroir : Reflection de Cartier.

Jouer avec le mystère du temps : c’est ce à quoi nous invite la montre Reflection de Cartier qui, autour d’un phénomène d’optique, fait basculer le réel dans l’imaginaire. Création hybride, cette montre s’amuse à brouiller les pistes. Architecture spectaculaire, or jaune solaire, surfaces pavées ou lisses, texture grenue du serti inversé ou duveteuse du serti neige : l’œil passe de contraste en contraste, ébloui. Puis il s’arrête, fasciné, découvrant un cadran minuscule faisant face à un miroir. Le temps s’y mire et nous entraîne dans l’infini de son reflet. Montre et bijou à la fois, Reflection de Cartier ouvre le champ de l’inattendu.

Reflection de Cartier

De l’autre côté du miroir : Reflection de Cartier.

Jouer avec le mystère du temps : c’est ce à quoi nous invite la montre Reflection de Cartier qui, autour d’un phénomène d’optique, fait basculer le réel dans l’imaginaire. Création hybride, cette montre s’amuse à brouiller les pistes. Architecture spectaculaire, or jaune solaire, surfaces pavées ou lisses, texture grenue du serti inversé ou duveteuse du serti neige : l’œil passe de contraste en contraste, ébloui. Puis il s’arrête, fasciné, découvrant un cadran minuscule faisant face à un miroir. Le temps s’y mire et nous entraîne dans l’infini de son reflet. Montre et bijou à la fois, Reflection de Cartier ouvre le champ de l’inattendu.

Reflection de Cartier

Houdin, maître de l’illusion.

Maurice Couët s’est inspiré des pendules du célèbre illusionniste et inventeur de la magie moderne Jean-Eugène Robert-Houdin (1805-1871). Le principe, qu’il reprend et perfectionne, repose sur une idée de génie : les aiguilles ne sont pas directement reliées au mouvement, mais fixées à deux disques de verre équipés d’une bordure en métal dentelé. Actionnés par le mouvement, généralement logé dans la base des pendules, ce sont eux qui vont entraîner les aiguilles, l’un tournant à la vitesse des minutes, l’autre à la vitesse des heures. Pour que l’illusion soit parfaite, la bordure des disques est dissimulée par le cercle des heures.
Les Pendules Mystérieuses constituent un chapitre à part de l’histoire de la Maison. On les dit « mystérieuses » car leurs aiguilles semblent flotter dans le corps transparent de la pendule, sans lien apparent avec le mouvement. Ces « miracles de l’horlogerie », comme les appelait La Gazette du bon ton en 1925, sont le fruit de la collaboration de Louis Cartier et d’un horloger d’exception, Maurice Couët. Ce dernier n’a pas 25 ans lorsqu’il est remarqué par Cartier – et déjà une solide expérience. À partir de 1911, il conçoit pendules et pendulettes exclusivement à destination de la Maison. La production de ces Pendules Mystérieuses n’a jamais cessé. Fascinantes, elles nourrissent l’inspiration des designers qui en explorent l’infini créatif.

Houdin, maître de l’illusion.

Maurice Couët s’est inspiré des pendules du célèbre illusionniste et inventeur de la magie moderne Jean-Eugène Robert-Houdin (1805-1871). Le principe, qu’il reprend et perfectionne, repose sur une idée de génie : les aiguilles ne sont pas directement reliées au mouvement, mais fixées à deux disques de verre équipés d’une bordure en métal dentelé. Actionnés par le mouvement, généralement logé dans la base des pendules, ce sont eux qui vont entraîner les aiguilles, l’un tournant à la vitesse des minutes, l’autre à la vitesse des heures. Pour que l’illusion soit parfaite, la bordure des disques est dissimulée par le cercle des heures.
Les Pendules Mystérieuses constituent un chapitre à part de l’histoire de la Maison. On les dit « mystérieuses » car leurs aiguilles semblent flotter dans le corps transparent de la pendule, sans lien apparent avec le mouvement. Ces « miracles de l’horlogerie », comme les appelait La Gazette du bon ton en 1925, sont le fruit de la collaboration de Louis Cartier et d’un horloger d’exception, Maurice Couët. Ce dernier n’a pas 25 ans lorsqu’il est remarqué par Cartier – et déjà une solide expérience. À partir de 1911, il conçoit pendules et pendulettes exclusivement à destination de la Maison. La production de ces Pendules Mystérieuses n’a jamais cessé. Fascinantes, elles nourrissent l’inspiration des designers qui en explorent l’infini créatif.

Brève histoire du mystérieux chez Cartier

La première pendule mystérieuse, dite « modèle A », sort des ateliers en 1912. Le modèle A connaît plusieurs variantes liées à la nature du socle (onyx, agate, néphrite, or…), au décor du cadran et de l’encadrement (émail blanc, nacre…) ou encore à la forme des aiguilles. Dans les années 1920, Cartier introduit le modèle dit à « axe central ». Contrairement au modèle A, ses disques ne sont pas actionnés par deux axes partant de chaque côté de la base mais par un seul. Cette innovation donne à Cartier une plus grande liberté encore dans ses recherches esthétiques. En 1923, le mouvement vient se loger au sommet des célèbres pendules mystérieuses portique.

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